Ce qui se passe sur la scène politique en France actuellement semble très malsain et n'augure rien de bien pour personne. Mais on dirait qu'il fait aussi partie du programme orchestré tacitement par l'UE, les socialistes et les libéraux selon les consignes des élites.
Lorsqu'au lieu de s'opposer politiquement avec des arguments dignes, on utilise une 'justice' partisane, sinon carrément marxiste, pour fouiller dans le passé d'un individu avec l'espoir de trouver de quoi pour l'entraver, (et on parle de celui qui a gagné les primaires des Républicains) on exerce les pratiques totalitaires.
Le dernier épisode d'investigation frôle l'absurde, car maintenant ce sont les costumes du candidat Fillon vers lesquels on pointe le doigt soupçonneux et accusateur.
Le procureur national financier responsable de l'enquête sur François Fillon s'appelle Éliane Houlette. Une juge d'extrême gauche dont sa place a été assurée par Christiane Taubira. En quelques mots tout s'explique..
Le candidat Macron, par contre, et malgré ses casseroles bien plus pesantes, semble intouchable. Contrairement à Fillon, bien évidemment, Macron est devenu le petit protégé de F. Hollande (et manifestement de la 'justice'). Macron joue assez fin sans trop s'engager, car il veut faire mine de rassembler tous les français. Peine perdue si les socialistes arrivent à faire couler l'unique candidat des Républicains.
Macron a travaillé pour la Banque Rothschild et Cie. Il a pu ainsi accumuler une petite fortune. Sans doute il aurait figuré parmi les riches que F. Hollande a prétendu ne pas aimer au début de son mandat. D'ailleurs le Président Français lui même, dans son élan de ne pas apparaître trop prospère, ou plutôt pour éviter de payer ISF, a fortement dévalué ses propriétés.
Mais il y a autre chose de troublant qui commence à se révéler, une vague silhouette comme un vieux navire fantôme dans la brume. Pourquoi la justice et les media laissent Macron tranquille et s'acharnent à détruire Fillon? C'est vrai que cette justice partisane attaque aussi MLP, mais avec moins de fougue, comme si on est assez confiant qu'elle va se faire couler toute seule.
Macron, comme Merkel, Juncker, Obama, Trudeau, Turnbull, Soros, etc., est pour 'open borders'. Malgré toutes les conséquences néfastes, malgré le danger évident, il n'a rien contre la continuation permettant aux migrants musulmans le libre access en Europe.
Valls est plutôt contre l'idée d'accueillir les migrants sans contrôles fiables. Est ce que c'est pour cela que l'on ne parle plus de Valls en tant que candidat? C'est pour cela qu'il est déjà éclipsé par le jeune Macron opportuniste sans expérience mais néanmoins porté aux nues par les media télévisés?
Considérons aussi que Fillon a eu l'intégrité de faire savoir qu'il est un Catholique pratiquant. Les socialistes français dont la mentalité ne semble pas avoir trop évoluée depuis la Révolution, ne seraient jamais enthousiastes d'apprendre un tel fait. On a aussi été témoin de l'attitude désobligeante d'Obama et H. Clinton à propos de la religion racine des colonialistes Americans. On dirait que selon eux le Christianisme ne représente que des vieilles toiles d'araignées poussiéreuses que l'on doit balayer de la maison. Il faut, après tout, faire place pour 'la religion de paix', n'est ce pas.
Fillon a aussi divulgué ce qu'il compte faire pour protéger les intérêts et améliorer la sécurité des français. Fillon donc représente une menace pour le projet neo-Marxiste dont personne n'en parle, le globalisme, le nouvel ordre mondial. Ce que l'on aurait preferé croire être une théorie du complot, ne peut qu'être finalement un trist objectif. Comment justifier la continuation de ce laisser aller non contrôlé absurde et irresponsable, d'immigration des musulmans, si finalement l'objectif éventuel du globalisme, n'existe pas?
Pourquoi Wilders a été si 'facilement' battu aux Pays Bas? Pourquoi un certain juge fédéral à Hawaii a voulu et a pu bloqué le projet de contrôle sur l'immigration de Trump quelques heures avant son application? Pour quelle raison Obama, toujours dans les coulisses, s'acharne à obstruer le nouveau Président des Etats Unis? Pourquoi prend il tant de libertés comme s'il en a tous les droits? Et pourquoi on traine tant à ne pas appliquer le processus qui doit forcément suivre le choix du peuple britannique de quitter l'UE?
On est donc confronté avec l'évidence que 'the show must go on' (le spectacle doit continuer). Et les élites, les multibillionaires, leurs acolytes achetés à court terme semblent être déterminés, voire obsédés, que ce sera bien cas.
Theoretically, according to the neo-Marxist globalists, 'globalism' will be established by the wealth of diverse cultures mixed up to create a conform, consistent, revolting mess that they label 'multiculturalism'. This 'multiculturalism' would seem to be the politically correct term for Islamic domination.
The power hungry sectarians delude themselves in shallowly thinking that it will create international stability, peace and Utopia.
Mais pour y arriver (note change of language once more. As this comes naturally I've decided to let it go, and hope it won't cause too much inconvenience) il faut ou l'imposer par la guerre, ou s'imposer simplement via la démocratie, le pouvoir de la majorité.
Hungary, Poland, Russia, China, Japan, Korea, India, etc., vehemently reject Islam. They would therefore qualify as the enemies of 'progress'. This would also include the USA if Trump continues to succeed in defending American interests.
Eventually every nation foolish enough to allow itself to be inundated with Muslims would, in principle, sadly sink, having nothing left to defend.
The eastern scenario, apocalyptique wars, ethnic cleansing and chaos would hardly seem to be an appropriate procedure to produce global Utopia, but for arguments sake, let's assume that the Islamic objective is finally reached, and the elite would rule the world under one governing system, at least for the brief spell the Islamic authorities would allow them to.
The shallowness of the ideology reveals itself as such from this hypothetical point onwards. For 1400 years Islam has imposed itself in various parts of the world. From 622 to 750 it succeeded in Levant, Mesopotamia, Persia, North Africa, Iberia, Gaul, Transoxania (Land beyond the Oxus), Sindh and Caucasus. The first wars (622) were waged by Muhammad himself. Significantly, they covered the countries now called Saudi Arabia (the birth place of Islam), Yemen and Oman.
The imposition of Islam is the essence of the Koran. A devout Muslim is therefore duty bound to convert or penalise 'infidels'. So once the world would be totally Islamised, where would Islam go from there? Assuming it mercilessly bludgeons its way to achieve world domination during the next century, thanks to the encouragement and financial aid of the billionaire ideologues most of whom by then would be dead or disposed of, Islam would be in a quandary. The regressive domination instinct would be feverishly twitching.
Naturally this would incite the various sects of Islam, each one maintaining it represents the celestial truth, to annihilate one another. The Utopian dream is thus fated to become the Dystopian nightmare. This would be inevitable. In fact it would be the revelation, the ultimate burning truth.
If Utopia can to some extent be realised, obviously it depends first and foremost on freedom. It depends on the conservation of individual and cultural identity. It depends on education, the appreciation and protection of life and all that is beautiful. It depends on peace.
Turkish ministers are now cynically predicting a religious war in Europe, but no wars are ever religious. Wars are waged by the belligerent to dominate, and by the defenders to avoid being dominated.
Tout ceci a été généré par des pensées à propos de la France. On est arrivé donc à faire une corrélation extraordinaire entre 'l'affaire' folle des costumes cadeaux de Fillon, et le projet fou du globalisme.
Le peuple, grâce à Dieu, a eu le dernier mot aux Etats Unis. Comme les premiers colonists du Nouveau Monde incluent les pèlerins de Plymouth qui arrivèrent sur le navire, 'The Mayflower' en 1620, il est raisonnable de conclure que le peuple, une fois réveillé, aura le dernier mot en Europe et ailleurs où sa liberté est menacée.
Text © Mirino. (Top image burning church in Mexico.
Lower image, the Mayflower, painted by W. Formsby Halsall in 1882 (Oils).
March, 2017